Jeudi 29 mai et vendredi 30 mai à 21h30
Monument National – Studio Hydro-Québec
20$ régulier / 15$ relève (35 ans et moins) / 12$ étudiants

NGS (« Native Girl Syndrome »)
Danse Lara Kramer – Lara Kramer
Danse | Performance | 60 min

NGS (« Native Girl Syndrome») est une incursion dans la culture de la rue, invitant le public au coeur de la perte, de l’aliénation et des dépendances de ceux qui la peuplent. Lara Kramer nous offre une performance scénique brute où les danseuses Karina Iraola et Angie Cheng incarnent avec profondeur des êtres dissociés d’eux-mêmes, perdus dans la citadelle des paradis artificiels.

Scénographie et Chorégraphie : Lara Kramer
Lumière : Paul Chambers
Mentor : David Pressault
Œil extérieur : Shawn Caldwell
Interprétation : Angie Cheng et Karina Iraola
Répétitrice : Maria Simone
Collaborateurs artistiques : Patircia Iraola et Cris Derksen


NOTE BIOGRAPHIQUE – Lara Kramer
Lara Kramer Danse est une compagnie de danse basée à Montréal qui soutient la recherche, la création et la production des chorégraphies de Lara Kramer. Fondée en 2012, la compagnie a depuis été invitée à se produire dans des festivals à Toronto, Ottawa, Montréal, Vancouver, Edmonton et Regina, en établissant de la reconnaissance en tant que voix autochtone au Canada.
Les travaux de Kramer sont intimement liés à la mémoire et à ses racines autochtones. Travaillant avec des visuels et des récits forts, le travail de Kramer pousse la force et la fragilité de l’esprit humain. Son travail est politique et puissant, et examine souvent les problèmes politiques entourant le Canada et les Peuples des Premières Nations. Kramer a été reconnue comme Human Rights Advocate au Centre commémoratif de l’Holocauste à Montréal.

Un travail de maître mené par Lara Kramer, qui ne nous laisse, certes, pas indifférents et qui, de la manière dansée la plus subtile, atteint en intensité notre corps et notre esprit.
(Df Danse – Justine Parisien-Dumais)

Kramer is an important new voice in our larger dance community as a contemporary choreographer, but also because her work is steeped in aboriginal concerns. What she’s expressing and sharing is the spirit and stories of her people, and giving audiences a chance to reflect and become sensitized to a different documentation of native people in conflict and crisis.
(The Dance Current – Philip Szporer, décembre 2013)

Kramer is a talent to watch. She wears her heart on her sleeve, which translates into dance theatre that is as vulnerable as it is emotional.
(The Globe and Mail – Paula Citron, juillet 2013)

Site web

OFFTA 2014 | Vidéo sous le drap | NGS (« Native Girl Syndrome ») from OFFTA on Vimeo.


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