L’Institut de l’artéfact établit des installations temporaires chez articule, où son personnel offre des consultations gratuites visant à aider le public à déterminer quoi faire avec des équipements électroniques endommagés, qui fonctionnent mal ou qui sont perçus comme étant obsolètes.
Les participants sont invités à apporter de l’équipement électronique durant les heures régulières de la galerie. L'équipement peut être dans n'importe quel état ou de n'importe quel type : téléviseurs et écrans, ordinateurs et périphériques, téléphones portables et appareils portatifs, équipements audio et vidéo, appareils électroménagers, par exemple. Le personnel de l’Institut de l’artéfact examinera, analysera et évaluera l'équipement et suggérera des démarches d’entretien, de réparation ou d’élimination aux participants, qui pourront choisir de les entreprendre ou non. Ce que l’Institut de l’artéfact propose, c’est un contexte pour considérer, à partir de perspectives variées, la manière dont nous produisons, consommons, utilisons, réparons et nous débarrassons d'artéfacts technologiques.
NOTES BIOGRAPHIQUES
Tim Dallett a travaillé à titre d’artiste, de conservateur, de directeur artistique, d’auteur, de directeur de publications, de technicien et de chargé de projets pour des collectifs, des centres d’artistes autogérés, des centres d’arts médiatiques, des galeries et des organismes sans but lucratif en Ontario, en Nouvelle-Écosse, au Nouveau-Brunswick, en Saskatchewan et au Québec.Il vit à Montréal (Québec).
Adam Kelly est artiste, technicien, programmeur, chargé de cours et activiste communautaire. Il vit à Halifax (Nouvelle-Écosse). Ensemble, ils ont fondé l’Institut de l’artéfact en 2007 dans le but d’étudier et d’influencer les processus responsables des changements dans l’utilisation, la valeur et la signification des artéfacts.
En collaboration avec Articule
Dans le cadre de la BIAN, Biennale internationale d'art numérique, organisée par Elektra (ACREQ)