Le Nuage de l’inconnaissance / The Cloud of Unknowing
Boris Dumesnil-Poulin
Good boy
Antoine Charbonneau-Demers
C’est comment la lumière quand on est une plante?
Le Nuage de l’inconnaissance est une aventure cinématographique combinant danse et poésie sur les rencontres possibles avec le non-humain, l’imperceptible et l’insondable. La vidéo, le geste et la voix se mélangent et s’entrechoquent dans un élan poétique sur la nature impénétrable des choses. C’est un plongeon dans la vie secrète de l’eau, des animaux, des squelettes et des orages, un voyage à travers la matière qui nous entoure et nous habite.
Boris Dumesnil-Poulin est artiste, poète et musicien. Boris se spécialise dans les entreprises futiles, les randonnées risquées et les plans télescopiques. Plein de l’esprit d’aventure, il vit pour des gestes audacieux qui abritent le rêve du futur. Il jongle avec le mystère et l’humour, pour parler de choses très sérieuses, pour se glisser entre ce qui est réel et ce qui est imaginaire, et pour regarder le monde comme un extraterrestre, une plante ou une bouffée d’air. Son travail porte sur la téléportation, le changement de forme et les voyages dans des lieux imaginaires.
Création Boris Dumesnil-Poulin Nageurs Félix Dumesnil-Poulin, Alexandra Sargent-Laskin, Malaïka Petersen-Pelletier, François Morelli, Camille Cléant, Boris Dumesnil-Poulin Regards extérieur Rebecca Duclos Vidéographie et montage vidéo Laïla Meistari Direction technique et régie Frédérique Laliberté Photo et bande-annonce Boris Dumesnil-Poulin En collaboration avec Complexe sportif du Stade Olympique, Faculté des beaux-arts de l’Université Concordia Avec le soutien de La Fondation Pouline
Un jeune homme débarque en ville, là où les rêves se brisent, où la jeunesse s’étiole, mais où peut se vivre une initiation tant sexuelle qu’émotionnelle qui prend parfois les atours d’une épreuve du feu. Adaptation du roman éponyme, Good boy est une lecture-performance exhibitionniste à la fois assumée et percluse de culpabilité, un rapport avec l’exposition de soi dans le désir – le désir qui a sa face noire, comme une maladie – mais aussi, indirectement, dans la littérature.
Antoine Charbonneau-Demers poursuit un projet littéraire qui fait à appel à l’imaginaire pour observer le réel. Il s’attaque à des sujets classiques pour les réinvestir dans une fantasmagorie personnelle et singulière où se mêlent autofiction et roman social.
Idéation, texte et performance Antoine Charbonneau-Demers Mise en scène Karyane Bilodeau Photo Christian Leduc Vidéo bande-annonce Antoine Charbonneau-Demers
double
| Monument-National – Cabaret du 4e | ||
| 31.05 | 20h30 | |
| 01.06 | 15h |
