Programme double
Vendredi 31 mai et samedi 1er juin à 22h
Théâtre d’Aujourd’hui
20$ régulier / 12$ étudiants / 15$ tarif de la relève (35 ans et moins)
Le progrès
Sarah Berthiaume et Adrien Bletton
Théâtre | 15 min
Vendredi 31 mai et samedi 1er juin à 22h
Théâtre d’Aujourd’hui
20$ régulier / 12$ étudiants / 15$ tarif de la relève (35 ans et moins)
Le progrès
Sarah Berthiaume et Adrien Bletton
Théâtre | 15 min
Ne meurs pas tout de suite, on nous regarde
Manuel Roque
Danse | Théâtre | 60 minutes
NOTES BIOGRAPHIQUES – Manuel Roque
Parallèlement à une carrière d’interprète exaltante et hétéroclite (Dominique Porte, Peter James, Sylvain Emard, soliste pour Marie Chouinard), Manuel Roque se fait chorégraphe de courtes formes (Brendon et Brenda, 2002 ; Ô mon bateau, 2004) avant de créer et danser RAW-me (2010), solo qui recevra un bel accueil à Vue sur la Relève et au OFFTA. Le duo Ne meurs pas tout de suite, on nous regarde, sorte d’ovni danse-théâtre, est co-présenté par Tangente et Quartier Danse en 2012. Son prochain projet sera diffusé dans la petite salle de l’Usine C en 2014 et fera l’objet d’une résidence de création à Bassano del Grappa (Italie). Manuel Roque s’intéresse au métissage des langages contemporains, à la rencontre d’une virtuosité kinésique à un travail de présence intègre.
Par l’allégresse développée dans l’expression cathartique des corps et des voix, cette pièce devient de plus en plus ludique et drôle, nous exposant à une identification presque inconfortable de l’insalubrité de notre existence. Un exutoire philantropique qui en valait vraiment la peine. Magnifique travail.
(Mandana Anahita, Danse Nouvelle Montréal – 21 septembre 2012.
Ne meurs pas tout de suite, on nous regarde joue comme son titre la carte du non-charme, de l’antiséduction, du ridicule tant affranchi qu’il en devient un atout gagnant. On se laisse aller à leur nonchalance comme on exulte de leur exubérance”
(Brigitte Manolo, Dfdanse – 21 septembre 2012)
“Cette pièce qui mettra à dure épreuve tant vos muscles zygomatiques que vos oreilles est tout, sauf mélancolique. La création (…) est tordante, délirante, d’une grande intensité physique, énergétique et théâtrale. “
“le chorégraphe nous livre une création jouissive à textures et facettes multiples, qui va marquer cette rentrée. “
(Nayla Naoufal, Dance from the Mat – 21 septembre 2012)