Depuis sa huitième édition en 2014, le OFFTA offre la Bourse à l’Audace en collaboration avec La Caisse de la Culture. Cette bourse est accordée à un artiste ou un groupe d’artistes participant au festival qui se démarque dans sa pratique par une démarche audacieuse et unique qui amène un renouveau à l’intérieur de la scène des arts vivants à Montréal et au Québec.
Le ou la récipiendaire de la bourse est choisi par les trois commissaires invités du OFFTA et est annoncée après la tenue du festival.
Impliquée auprès de la relève, c’est avec grand enthousiasme que la Caisse de la Culture soutient le OFFTA, haut lieu de l’innovation créatrice et du décloisonnement des pratiques culturelles, par l’instauration de la toute première Bourse à l’audace.
Pour les deux organisations, cette bourse est une occasion d’offrir un autre appui précieux afin d’encourager l’innovation et la créativité de la relève artistique.
2015
Pour une deuxième année consécutive, le OFFTA est fier d’offrir la Bourse à l’audace – Caisse de la culture à un artiste qui s’est démarqué avec une démarche novatrice et audacieuse en arts vivants. Nous sommes donc très heureux d’annoncer que la Bourse à l’audace – Caisse de la culture de la 9e édition du festival est octroyée à l’artiste Gabriel Plante pour son projet Plyball.
Les commissaires et l’équipe du OFFTA tiennent à souligner ainsi cette démarche de création audacieuse qui a réfléchi aux relations humaines observées dans un cadre sportif avec comme objectif de les transposer à l’intérieur d’un spectacle.
Présenté en espace public dans le cadre du OFF aux Jardins Gamelin, à la Place Émilie-Gamelin dans le Quartier des spectacles au mois de mai dernier, le Plyball a réuni des gens de tous les horizons lors de parties sportives amicales, et a même courronné un champion lors du premier tournoi de ce sport théâtral.
2014
C’est avec un grand plaisir que les commissaires et la direction de la 8e édition du OFFTA remettent la première Bourse à l’audace – Caisse de la culture à Lara Kramer pour sa pièce NGS (Native Girl Syndrome).
NGS (Native Girl Syndrome) aborde de manière sensible et authentique l’itinérance vécue par des autochtones déracinés; un thème délicat, mais nécessaire.